Devenir Miss France n’assure pas une vie de rêve. Et Vaimalama Chaves vient d’en donner la preuve. La jeune femme qui a récemment révélé avoir été victime d’inceste à l’âge de 5 ans, vient de faire de nouvelles révélations sur son après règne chaotique.
Pour rappel, la tahitienne voyait sa vie basculer le 15 décembre 2018 au Zénith de Lille lorsque Maëva Coucke lui remettait la couronne de Miss France. Si elle a pu vivre une année féérique, son après règne a visiblement été une vraie galère selon ses dires au micro de Thomas Isle.
Vaimalama Chaves « sans domicile fixe » après avoir laissé son appartement à Clémence Botino
En effet, ce vendredi 30 mai 2025, Vaimalama Chaves était l’invitée de l’émission « Culture Médias ». L’occasion pour l’ancienne reine de beauté de revenir sur son règne, mais aussi faire la promotion de son livre, « O VAI », paru aux éditions First le 15 mai 2025.
Thomas Isle a justement cité un extrait de l’ouvrage en interrogeant l’ex-Miss France, dans lequel l’ancienne compagne de Nicolas Fleury évoque le logement de fonction dans lequel elle loge durant son règne. Un appartement situé dans le 17e arrondissement de Paris.
« Vous racontez une chose sur la vie de Miss France. Pendant votre règne de Miss, vous avez un logement de fonction qui vous est prêté mais lorsque la nouvelle Miss arrive, on vous demande gentiment de partir de cet appartement. Du coup, vous n’êtes pas du tout accompagnée et vous dites : ‘Je me retrouve SDF’« , relaye le journaliste.
À quoi Vaimalama Chaves a répondu : « Une fois que ça, c’est terminé, je dois me débrouiller toute seule« . Et visiblement, retrouver un logement n’a pas été chose aisée pour elle. « Surtout quand on n’a pas anticipé et fait un compte en banque en France. Et pour faire un compte en banque en France, il faut avoir une adresse postale en France et pour avoir une adresse postale, il faut avoir un logement, donc c’était un peu complexe », avoue-t-elle.
Un appartement retrouvé grâce à une attestation d’hébergement
Miss France 2019 a tout de même eu la chance de pouvoir vivre chez une amie le temps de retrouver chaussure à son pied. C’est finalement une attestation d’hébergement qui lui a permis de sortir de l’embarras. En effet, grâce à celle-ci, elle a pu ouvrir un compte en banque en France et retrouver une vie normale.
« Mon appartement était trop bien. Quand je l’ai trouvé après avoir passé un mois à vagabonder et à squatter des canapés, je me suis dit : ‘Ok c’est bon, c’est là.’ Quand on a fermé la porte après avoir signé le bail, je me suis allongée par terre, je me suis mise en boule », se souvient-elle, décidée à ne pas rentrer à Tahiti malgré la situation très compliquée.
Notamment parce qu’il y a « énormément d’opportunités professionnelles et personnelles » et « beaucoup de rêve » qu’elle peut réaliser « ici et qui ne sont pas forcément accessibles en Polynésie ».
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