« Honnêtement, je n’ai pas pris beau­coup de plaisir », a reconnu Carlos Alcaraz après sa victoire en quatre sets contre le Bosnien Damir Dzumhur au troi­sième tour de Roland‐Garros.

Le jeune quadruple lauréat en Grand Chelem et tenant du titre Porte d’Auteuil sait qu’il a livré une pres­ta­tion en demi‐teinte, notam­ment en raison d’un passage à vide en fin de troi­sième set.

Une baisse de concen­tra­tion, face à un adver­saire certes valeu­reux, qui risque de ne pas plaire à son exigeant entraî­neur, Juan Carlos Ferrero. Fabrice Santoro aurait bien voulu être une petite souris pour assister au débrief entre les deux hommes dans les vestiaires.

« On aura d’autres occa­sions de le titiller un peu sur le discours de Ferrero après ce match. Il fallait le libérer, il était tard, mais la ques­tion que j’aurais aimé lui poser, c’est : d’après toi, que va te dire Juan Carlos dans les vestiaires après ce match ? », a lancé le consul­tant de Prime Video sur le plateau.