INFOGRAPHIE – À chaque Grand Prix, pilotes et directeurs d’écurie ne parlent plus que de ça… Derrière ces mots techniques se cache l’un des enjeux majeurs de la F1 : la gestion de l’usure des pneumatiques.
Dunlop, Firestone, Goodyear, Bridgestone, Michelin… Les grands noms du pneu ont tous laissé leur empreinte en Formule 1. Fournisseur exclusif depuis 2011, Pirelli va courir sa 500e course cette année, lors du Grand Prix de Zandvoort, aux Pays-Bas avant de la fêter à Monza en septembre prochain. Ultrabrillants à leur sortie des stands, les pneus changent rapidement d’aspect en piste sous l’effet de l’usure. Cette dégradation, au cœur des stratégies de course, est scrutée de près : elle peut faire perdre de précieuses secondes et contraindre les écuries à effectuer de coûteux arrêts pour les remplacer. Elle peut toutefois devenir une opportunité tactique grâce à « l’undercut » : s’arrêter avant son rival pour chausser des pneus neufs, plus performants, et tenter de le dépasser lorsqu’il rentrera à son tour.
TOUT POUR LE GRIP…
Tout l’enjeu pour le pilote est alors de placer ses pneus dans la bonne « fenêtre d’exploitation »…
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