coulisses – Barry Diller révèle la façon peu commune dont le casting et l’équipe se faisaient livrer de la cocaïne sur le tournage

Barry Diller n’y va pas de main morte quand il s’agit de révéler les dessous de Hollywood. L’ex-PDG de Paramount Pictures a lâché une bombe lors d’une conférence au 92NY. Quand le journaliste Anderson Cooper lui a demandé de citer « le plateau le plus défoncé à la cocaïne » qu’il ait jamais visité, sa réponse a fusé : Popeye.

Le casting et les équipes du film de Robert Altman, sorti en 1980 avec Robin Williams et Shelley Duvall, étaient visiblement alimentés par autre chose que des épinards ! Et à savoir si celui qui dirigea le prestigieux studio de 1974 à 1984 avait « immédiatement su » que tout le monde planait sur le plateau lors de sa visite, la réponse est sans équivoque : « Su ? Vous ne pouviez pas ne pas voir. »

Mais le plus croustillant n’est pas là !

Un usage singulier des boîtes de pellicule

Barry Diller a également révélé, comme le relaye Entertainment Weekly, que la drogue était acheminée de manière particulièrement créative, et propre à son époque, c’est-à-dire un temps où le digital et Internet n’existaient pas. Les films étaient tournés sur pellicule, conservée dans des boîtiers, avant de passer ensuite au montage.

« Les boîtes de pellicules étaient envoyées à Los Angeles pour l’avancée du film au quotidien. Le tournage avait lieu à Malte. Et nous avons découvert que ces boîtes servaient en fait à faire circuler la cocaïne sur le plateau. Tout le monde était défoncé », a-t-il expliqué.

Ce film musical, qui marquait les débuts au cinéma de Robin Williams après s(…)

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