Le revêtement orange est redevenu un terrain de jeu inspirant pour les joueurs et joueuses US. Ils étaient huit en 8es de finale. Symboles d’un tennis totalement relancé.

Retour vers le futur. Jamais depuis 1985 (Martina Navratilova, John McEnroe, Jimmy Connors ou Aaron Krickstein), le tennis américain n’avait présenté un tel tir groupé en 8es de finale à Roland-Garros : Coco Gauff (2e mondiale), Jessica Pegula (3e), Madison Keys (8e), Amanda Anisimova (16e), Hailey Baptiste (70e), Tommy Paul (12e), Ben Shelton (13e) et Frances Tiafoe (15e) se donnaient la main. Et, du côté des hommes, Paul et Tiafoe s’inscrivent dans la foulée comme les premiers joueurs « made in USA » (accompagnés de Gauff et Keys) en quarts de finale à Paris depuis 1996 (Pete Sampras, Jim Courier)…

Des performances qui surgissent dans la foulée de la finale de Jessica Pegula lors du dernier US Open et du titre de Madison Keys lors du dernier Open d’Australie. Les États-Unis prêts, et bien décidés, à retrouver les sommets. Avec une nouvelle génération portée par le nombre (16 joueuses et 10 joueurs dans le top 100). Et ne souffrant plus d’un mal de terre longtemps répandu quand…

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Le Figaro

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