Le 30 mai dernier, le fils de la légende du rock a été photographié dans un look vintage. Non sans rappeler la silhouette de son père au summum de sa gloire.
Un héritage rock’n’roll se perpétue de génération en génération. C’est tout ce qu’a évoqué Lucas Jagger, le fils de la star du rock Mick Jagger et du mannequin brésilien Luciana Gimenez Morad, lorsqu’il a été repéré dans une rue de New York le 30 mai dernier. Sur les clichés capturés par des paparazzis, le jeune homme de 26 ans a misé sur un style vestimentaire à la fois nonchalant et excentrique. Tout pile dans la tendance «trashcore», ce phénomène vestimentaire adoré par la génération Z qui privilégie les coupes ultralarges et les associations de couleurs douteuses.
Lucas Jagger dans une rue de New York. (Le 30 mai 2025.)
Dylan Travis/ABACA
Ce jour-là, Lucas Jagger a jeté son dévolu sur un large tee-shirt violet imprimé du logo de la Bass Pro Shops, une entreprise américaine de distribution de matériel de pêche, de chasse et d’activité en plein air. En guise de pantalon, le «nepo baby» suivi par 385.000 personnes sur Instagram a misé sur un jean flare délavé, ou la coupe évasée largement arborée par les artistes de la scène alternative au cours des années 1970. Sneakers blanches usées, microsac multipoches délavé Acne Studios porté en bandoulière – avec porte-clé peluche mis en évidence – ont ajouté une touche supplémentaire de désinvolture. La note finale ? Quelques patchs anti-acné en forme d’étoiles sur le visage, ou l’une des tendances devenue virale ces derniers mois sur TikTok.
Mick Jagger lors d’un concert en 2003 à Sydney
AAP/ABACA
Comme un air de famille
Ici, entre les coupes évasées, la dégaine faussement négligée et les couleurs chatoyantes, difficile de ne pas penser aux silhouettes de Mick Jagger dans les années 1970. Le leader des Rolling Stones s’est longtemps imposé comme une icône du glam rock, ne se faisant jamais prier pour mélanger cuir, soie, paillettes et tee-shirts à messages dans le but de cultiver un style androgyne et rebelle unique en son genre. Des codes visiblement passés à son fils, comme un héritage, qui, de son côté, les réinterprète à la sauce Gen Z. Sur Instagram d’ailleurs, celui qui a été diplômé de l’université de New York fin 2024 arbore fièrement des ongles manucurés ainsi qu’une multitude de vêtements colorés. Comme l’aurait sûrement fait son père s’il avait eu 20 ans en 2025.