Invité du « Jet de Luxe » de Jordan de Luxe, Billy Crawford, l’ex de Lorie Pester est revenu sur les excès en tout genre qu’il a eu pendant sa carrière dans la chanson, commencée au début des années 2000.
Lui qui a avoué avoir eu une période sombre lorsqu’il se battait contre son alcoolisme et buvait deux litres de whisky par jour, a également parlé argent.
Et il révèle avoir eu à dépenser 190 000 euros pour payer son chauffeur, qui l’a accompagné partout pendant 4 ans, en voiture.
Billy Crawford et ses dépenses
À Jordan de Luxe, il raconte en effet : « J’avais un chauffeur en France, tout le temps, 24h sur 24, il était comme mon frère. On sortait après le travail. Et après 4 ans, la maison de disque m’a rappelé et m’a dit ‘tiens Billy, c’est la fiche que tu as besoin de payer' ».
Très surpris par cette addition salée, le chanteur avoue : « C’était même pas le paiement pour le chauffeur, mais juste pour la voiture ». Et d’ajouter, sans rancune : « J’ai dépensé pour lui, c’était mon pote, on sortait ensemble, on buvait des coups, on mangeait ensemble… »
Billy Crawford, dont la générosité n’est plus à prouver, a fait des folies avec son argent. L’ex de Lorie avoue avoir acheté des Ferrari, des Maserati, des motos, aux Philippines, son pays d’origine.
Il se souvient d’une autre époque, et assume : « T’es jeune, t’es amusé par ça, mais il y a un moment, tu as besoin de dire qu’il faut arrêter et réfléchir un peu, pour te sauver ». « Parce que c’est facile » reconnait-il aussi.
La morale de l’histoire
En effet, un jour, il se souvient d’avoir interprété « Trackin' » lors d’un évènement privé, pour 50 000 euros. Après avoir pris une petite photo souvenir, Billy Crawford a dépensé les espèces qu’on lui a données en quelques heures seulement.
Il avoue : « j’ai acheté des montres, 3 bouteilles de Dom Pérignon, j’ai fait la fête avec des amis ». Et de conclure : « C’est génial, mais c’est dangereux, tu peux casser ta vie avec ça ».
L’ancien gagnant de « Danse avec les stars » est aujourd’hui un homme marié (avec le mannequin Coleen García) et surtout un papa (d’un petit Amari). Alors, il fallait bien grandir.
Mentionnés dans cet article
À lire aussi