EXCLUSIF – Quarante ans après le sabotage du navire par les services secrets français, le journaliste Hervé Gattegno révèle comment le président socialiste est sorti indemne d’une affaire dont il était pourtant le premier informé… et responsable.
Le 10 juillet 1985, une déflagration déchire la coque du Rainbow Warrior , au mouillage dans la baie d’Auckland, en Nouvelle-Zélande. Ce chalutier appartient à l’ONG écologiste Greenpeace, qui voulait l’utiliser pour perturber les essais nucléaires français dans le Pacifique. Fernando Pereira, un photographe portugais sympathisant de la cause, est retrouvé mort à bord après une seconde explosion.
Dans Deux bombes sous le Rainbow Warrior. Les derniers secrets de l’affaire qui aurait pu couler Mitterrand *, Hervé Gattegno éclaire les zones d’ombre qui entouraient encore le plus grand scandale des quatorze années de mandat du président socialiste. Journaliste au Monde en 2005, il avait déjà publié des extraits d’un document confidentiel : le rapport sur le sabotage du navire rédigé par l’amiral Pierre Lacoste en 1986, alors que l’affaire venait de lui coûter son poste à la tête de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).
Colère
Quarante ans plus tard, il rend pour la première fois…
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