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« Je lui parle beaucoup, il a un caractère introverti et réservé, je pense que (Vincent) Kompany (le coach du Bayern Munich, NDLR) lui parle beaucoup aussi. Il est dans une phase de progression qui demandera confirmation. C’est un grand professionnel, il est au début, mais il a un très bel avenir devant lui. »
La pertinence du dispositif en 4-2-3-1
« C’est toujours une question d’équilibre. Je préfère gagner 5-4 que 1-0. Si on a le ballon, il n’y a pas de problème. Je ne vais pas me priver des joueurs offensifs, car j’en ai beaucoup. Mais cela demande des corrections. Aujourd’hui, par exemple, tous les joueurs n’évoluaient pas forcément à leurs postes. Pour l’adversaire, aussi, quand il voit le type de joueurs qu’on a offensivement, c’est problématique pour lui. Il faut trouver le juste milieu. Il faut moins exposer notre défense quand on n’a pas le ballon. Mike (Maignan) a été un rempart magnifique qui nous a maintenus dans le match. Cela ne nous a pas empêchés de faire mieux les choses en seconde période. Quand je fais une équipe, c’est pour qu’elle soit la plus dangereuse pour l’adversaire.
Quel bilan tirer du Final Four ?
« Il y a du potentiel avec cette qualité, un excellent état d’esprit. J’aurais aimé avoir toutes nos forces à disposition contre l’Espagne, sans savoir comme ça se serait passé, mais j’aurais aimé. C’est toujours bien de finir la saison sportive sur une victoire en battant l’Allemagne chez elle. C’est important, car il y a aussi beaucoup de jeunes. Il y a tout ce qu’il faut pour qu’on continue. J’ai le matériel pour être encore plus performant. »
« Contre l’Espagne, il a été rayonnant dans notre bonne période. Aujourd’hui, il a fait des bonnes choses, d’autres moins bonnes, avec des pertes de balle. Il a besoin d’être au cœur du jeu. Après, tout dépend de l’adversité. Il dégage plein de joie, il est heureux d’être là. Il a cette capacité d’éliminer, de faire des passes justes. Si tous les joueurs à leur premier appel en équipe nationale faisaient la même chose… Cela demande de la continuité. »
Une Ligue des nations enrichissante
« Les certitudes sont vite balayées. Dans l’analyse, il y a du positif et du négatif. J’étais convaincu que c’était le moment (d’essayer de nouveaux joueurs), de répartir le temps de jeu. Tout dépend de ce que feront les joueurs (la saison prochaine). L’analyse peut être positive à un moment M ou négative, ça peut évoluer aussi. Ça nous donne des éléments de réponse. Je suis sûr que la Ligue des nations a été très utile. Les joueurs sont suffisamment lucides entre ceux qui sont là et ceux qui pourraient y être, les places deviennent très chères. C’est à eux à travers ce qu’ils font avec nous et ce qu’ils font en club (de tout faire pour être appelés en sélection). »