Fredonner des berceuses et comptines à son nouveau-né n’est pas instinctif chez tous les parents. Pourtant, cela comporte de réels avantages pour la santé mentale du tout-petit, démontre une nouvelle étude.
« Une chanson douce, que me chantait ma maman… » De génération en génération, dans toutes cultures, les parents (souvent les mères) ont chanté berceuses et comptines à leurs tout-petits. Si la recherche a prouvé que ce geste instinctif avait un effet apaisant dans l’immédiat, il pourrait en outre avoir un impact bien plus significatif sur l’humeur générale de votre enfant. C’est ce que démontre une nouvelle étude, publiée le 28 mai dans la revue Child Development. Un moyen simple, accessible et non coûteux pour améliorer la santé mentale des bébés, et à terme, celles de leurs parents, soulignent les auteurs.
Pour arriver à cette découverte, ces chercheurs des universités américaines Yale, Princeton, et de l’université néo-zélandaise d’Auckland ont mené une expérience auprès de 110 familles de nourrissons âgés de moins de quatre mois. Ils les ont séparées en deux groupes. Dans le premier, les parents étaient activement encouragés, pendant quatre semaines, à chanter pour leur bébé…
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