Des royalties mensuelles
« Il a fallu que j’accepte ma voix, que j’expérimente la scène », explique Jonathan Dassin au Figaro. « J’ai été trompettiste et chanteur dans un groupe de musique africaine passé en première partie de Manu Dibango puis mon premier album solo n’a pas été un grand succès. J’ai eu besoin de faire tout ce chemin-là. »
L’œuvre de Joe Dassin, au-delà de l’aspect symbolique, rapporte également un beau petit salaire à ses enfants. « Je touche entre 3 500 et 7 000 euros de royalties par mois », souligne Jonathan Dassin. Le jour de ses 18 ans, il avait de surcroît hérité d’une somme conséquente : « À ma majorité, j’ai touché 1,6 million d’euros investi dans l’immobilier, des costumes et les colliers de coquillage de Joe, ses vinyles et son passeport ».