On aurait pu se douter que si la finale de Roland‐Garros allait au bout des cinq sets, la balance penche­rait en la faveur de Carlos Alcaraz, grâce à une statis­tique bien précise.

D’après des chiffres très parlants en Grand Chelem, l’Espagnol obtient un ratio de 12 victoires pour 1 défaite lors de matchs de plus de 3h50. Contrairement à lui, Jannik Sinner ne performe visi­ble­ment pas sur la durée, ramas­sant 0 victoire contre 7 défaites lors des matchs d’une durée supé­rieure à 3h50.

La preuve que le numéro 2 mondial possède un physique hors‐norme, lui permet­tant de faire preuve d’une constance et d’une endu­rance sans faille, à une excep­tion près.