Entreprise sudiste de 28 salariés fondée en 2017, IAGE est leader d’une révolution technique, puisque cinq années de recherche et développement lui ont permis de développer un procédé unique qui permet de détecter et quantifier la présence de macro et de micro-organismes (virus, bactéries, champignons, parasites) dans toutes sortes de milieux (eaux, sols, plantes, bâtiments).

« Son approche intégrée et clé en main pour le client, allant du prélèvement ultra-précoce à l’analyse et au suivi opérationnel, permet d’anticiper les risques de contamination par des champignons pathogènes, évitant ainsi des interventions coûteuses comme le remplacement intégral du gazon et l’usage massif de produits phytosanitaires pour les combattre », précise Franz Durandet, président d’IAGE.

Expérience grandeur nature à Montpellier

« Toute démarche d’acceptation d’un renoncement, ici, l’utilisation de produits chimiques depuis des décennies, ne peut venir que d’un changement de logique en profondeur et donc d’une compréhension de ce qui se passe concrètement sur son propre sol, au fil des saisons », poursuit-il. « Approfondir la compréhension des dynamiques des différents pathogènes, évaluer précisément l’efficacité des stratégies de biocontrôle mises en place, limiter au maximum l’usage de produits phytosanitaires et analyser l’impact réel de ces traitements : tout cela a été rendu possible parce que nous l’avons concrètement expérimenté in situ, en conditions réelles d’exploitation, à La Mosson (stade de Montpellier, NDLR) », affirme Franz Durandet. C’est au cœur du stade de la Mosson, site emblématique de la ville de Montpellier, que la vision novatrice d’IAGE en matière de sécurisation des pelouses a trouvé un terrain d’expérimentation grandeur nature.