Aryna Sabalenka n’a pas résisté à la fougue de
Coco Gauff, qui a brillé sur la terre battue
parisienne et soulevé la Coupe Suzanne Lenglen à l’issue d’une
finale intense. À seulement 21 ans, l’Américaine s’impose comme une
figure incontournable du tennis mondial en décrochant pour la
première fois Roland-Garros, son deuxième titre en Grand Chelem.
Une victoire marquante, immortalisée sous les flashs avec le
célèbre trophée dans les mains. Mais cette coupe tant convoitée
cache un petit secret. En réalité, le trophée brandi sur le court
lors de la cérémonie officielle n’est qu’un exemplaire destiné aux
photos. La véritable récompense, celle que l »Américaine a pu
ramener chez elle, est une réplique différente,
remise en toute discrétion après la fête.

Roland-Garros : Coco Gauff dévoile le véritable trophée
reçu

Dans une vidéo publiée sur TikTok, Coco Gauff a levé le voile
sur une petite curiosité liée à sa victoire. Devant la caméra, elle
a tenu à clarifier un point que peu de fans connaissent : le
trophée qu’on voit sur les photos officielles ne quitte jamais les
vitrines du tournoi. « Ça, c’est le trophée avec lequel nous
posons devant les médias », explique-t-elle calmement, avant
de préciser que « nous ne pouvons pas ramener ce
trophée chez nous, il reste la propriété du
tournoi. »

Pour autant,
la championne ne repart pas les mains vides. Elle a ensuite
présenté la version qu’elle a pu glisser dans ses bagages : une
reproduction plus modeste, bien loin du prestige de l’original. En
mimant la pose classique du vainqueur, la tenniswoman de 21
ans lâche avec humour : « Il est vraiment petit. Mais
les souvenirs sont évidemment le plus important. Il est très beau
et c’est simplement une plus petite version du trophée
original. » Un moment sincère qui montre que la symbolique du
titre compte souvent bien plus que sa taille réelle.

Le père de Coco Gauff a vécu la finale… depuis sa voiture

Le jour où Coco Gauff a disputé la finale de Roland-Garros, son
père Corey n’était pas dans les tribunes, mais…
sur le parking. Installé dans la zone réservée aux transports, il a
suivi chaque échange depuis un moniteur, sans jamais quitter son
iPad des yeux. « Je suis sur le parking, je regarde sur
un moniteur« , a-t-il confié à Tennis Channel. Prévu
pour suivre le match depuis la salle de repos, il a finalement dû
trouver un plan B. « Elle était occupée par le groupe de musique
pour le spectacle juste avant la finale donc j’ai dû aller me garer
sur le parking », raconte-t-il avec humour. Casque sur les
oreilles et musique en fond, il a préféré zapper les commentaires
pour mieux vivre le match à sa manière.

Quand sa fille a obtenu une première balle de match, l’envie de
la rejoindre dans les tribunes l’a gagné. Mais la superstition a
vite pris le dessus : « Je me suis levé au moment de la balle de
match. Pour la première balle de match, j’ai commencé à marcher
vers le box et elle a perdu le point. Quand elle a perdu le suivant
et concédé une balle de break, je suis retourné à ma place. Je me
suis dit ‘Je ne bouge plus tant que ce n’est pas fini
!’ » Une décision payante, puisque quelques instants
plus tard, sa fille s’imposait. « J’étais juste soulagé, et fier
d’elle », a-t-il conclu, le cœur rempli d’émotion.

La tenniswoman complètement ivre à
Paris

Après son triomphe à Roland-Garros, Coco Gauff a voulu marquer
le coup en sortant fêter sa victoire dans les rues de Paris. Sur
TikTok, elle a partagé les coulisses de cette soirée plutôt
arrosée, assumant son état le lendemain : « Sortir après avoir
remporté un évènement sportif devrait être illégal. Tu es pleine
d’émotion, déshydratée, tu meurs de faim, et là, ils te passent une
bouteille de champagne. Évidemment que je termine dans un sale
état. Mais c’était drôle, je suis au top. »
Tout juste majeure aux États-Unis, la jeune joueuse découvre
encore les effets d’une soirée bien chargée. Fatigue accumulée,
émotions intenses et champagne ont eu raison de sa résistance, au
point qu’elle a oublié avoir lancé un live Instagram.