Une vaste étude américaine confirme que ce ne sont pas les sucres en soi qui posent problème, mais leur qualité. Suivez le guide…
Les idées reçues sur les glucides ont la vie dure. Tantôt accusés de nous précipiter dans la tombe à grands coups de rides et de kilos superflus, tantôt encensés comme l’indispensable carburant de notre cerveau, les sucres se retrouvent au cœur d’un débat permanent. Résultat : certains se demandent si croquer une pomme n’est pas aussi risqué que siroter un soda, sous prétexte que les deux contiennent du fructose, parfois décrit comme une drogue aussi addictive que la cocaïne.
Dans ce joyeux capharnaüm nutritionnel, une récente étude américaine publiée dans la revue JAMA Network Open vient remettre un peu d’ordre. Les chercheurs ont voulu savoir si la qualité et la quantité des glucides que l’on consomme à la quarantaine influencent notre capacité à vieillir sans trop de dégâts. Pour cela, ils ont analysé les données concernant plus de 47 000 participantes de la cohorte Nurses’ Health Study, suivies entre 1984 et 2016. Grâce à des questionnaires alimentaires détaillés, remplis tous…
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