« Il est temps que cela cesse », tonne-t-elle. Deux jours après avoir été accusée de tromperie par son ex-fiancé Diego El Glaoui, l’ancienne miss France Iris Mittenaere annonce avoir porté plainte dans un communiqué diffusé ce jeudi soir sur Instagram.

« Depuis plusieurs jours, je fais l’objet d’une campagne de haine et de diffamation sur les réseaux sociaux. Des propos mensongers, volontairement déformés ou sortis de leur contexte ont été relayés pour tenter de nuire à mon image, à ma parole et à mon engagement », témoigne l’animatrice.

VidéoL’ex-compagnon d’Iris Mittenaere condamné à six mois de prison ferme pour violences conjugales

L’ex-miss Univers fait notamment référence aux propos de son ex-compagnon, l’entrepreneur Diego El Glaoui, dont elle a partagé la vie durant cinq ans. Un an après la séparation du couple, ce mardi, l’homme avait lui-même diffusé un communiqué racontant avoir découvert la supposée infidélité d’Iris Mittenaere au cours de leur relation.

« Je n’ai jamais souhaité que la vérité soit rendue publique et jamais je n’aurais pensé devoir l’évoquer ici », confiait alors le fondateur de l’agence d’influence We Are Influence.

« Calomnie » et « manipulation »

Le communiqué officiel de l’agent d’influenceurs faisait suite aux multiples publications faites ces derniers jours par le blogueur controversé Aqababe, enflant la rumeur au sujet de la tromperie présumée d’Iris Mittenaere et de la fin tumultueuse de son couple.

Face à ces dires, Iris Mittenaere se dit « déterminée à faire respecter » ses « droits ». « Une plainte pénale a été déposée auprès du procureur de la République de Paris pour divulgation de correspondances privées, diffamation publique, cyberharcèlement et incitation au cyberharcèlement », poursuit-elle. En parallèle, « une procédure d’urgence civile est engagée pour atteinte à l’intimité de ma vie privée », ajoute-t-elle.

« Comme trop d’autres femmes, je constate à quel point la calomnie, le harcèlement et la manipulation sont devenus des outils de pression en ligne. Il est temps que cela cesse », insiste Iris Mittenaere.

En réponse à ce communiqué, Aqababe dit déjà assumer ses publications. « J’ai toujours fait de la prévention dans mon canal en incitant personne à l’harceler ni l’insulter, et ça à maintes reprises ! », écrit-il ce jeudi soir sur Instagram. « Je fais simplement mon job », défend par ailleurs le blogueur.