Pascal Obispo et Johnny Hallyday ont été amis et partenaires de travail. Ensemble, ils ont concocté Ce que je sais, l’album de 1998 qui comporte l’archi-célèbre « Allumer le feu ». Ce n’est pas rien ! Et avec le clip de sa chanson « Appelle-moi Johnny », qui sort ce 15 juin, celui qui a écrit pour Florent Pagny « Ma liberté de penser » a bien l’intention de le rappeler au monde.
L’auteur-compositeur-interprète, en effet, n’a pas apprécié de passer aux oubliettes dans l’histoire de l’idole des jeunes. Il estime qu’il a été « écarté » de son vieux pote par une partie de son « entourage proche ». À ce bannissement, Pascal Obispo trouve une explication : il disait à son copain « les choses comme elles sont ».
« Une alchimie non feinte »
Problème, comme il l’explique à Gala, « Johnny avait ce défaut de répéter tout ce que je lui disais ». De là à penser que ce n’était pas du bien de ses très proches, il n’y a qu’un pas… et Pascal Obispo va dans ce sens quand il affirme que le mari de Laeticia Hallyday avait été « “gouroutisé” à une époque », sans préciser qui tenait la star sous emprise.
« Donc, j’ai été rayé de la carte. Comme ça. De son vivant, confie l’artiste de 60 ans. Ça été dur pour moi. Je l’avoue, j’étais triste. Ça me manque, il était comme un père pour moi. »
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