« Portrait de l’artiste au fond rose », autoportrait de Paul Cezanne, vers 1875. AGLILEO COLLECTION/AURIMAGES VIA AFP
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L’arrière-arrière-arrière-petite-fille du peintre s’apprête à publier « un récit sulfureux » sur sa famille, au grand dam de son grand-père et de son oncle qui l’ont attaquée en justice.
Pour aller plus loin
Mis à part l’éditeur, Plon, personne n’a encore lu le texte, mais le projet de livre de Tess Cezanne (1), arrière-arrière-arrière-petite-fille du peintre, crée déjà des remous. La faute à un résumé tapageur envoyé à la presse en début d’année. « Turpitude, perversion et appât du gain, les membres de la famille s’étouffent les uns les autres. De Megève à Paris, en passant évidemment par la Provence, les descendants du peintre aixois sont confrontés à leurs plus terribles démons », écrivait la maison d’édition, promettant « un récit sulfureux » sur une famille emportée « dans les abîmes de la dépravation ».
Intitulé « la Malédiction des Cezanne », l’ouvrage devait paraître le 10 avril 2025, avant que Plon ne reporte la sortie au 31 décembre 2099. Manière, dans le monde de l’édition, d’indiquer qu’un ouvrage est repoussé sine die. Pour quelle raison ? Quelques semaines avant la date de parution initialement prévue, Philippe Cezanne, détenteur du droit moral de l’artiste, et son fils Clément, respectivement grand-père et oncle de Tess, ont assigné l’…
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