Dans «C l’hebdo», l’actrice a prouvé une fois de plus tout l’amour qu’elle porte aux animaux. Face à Aurélie Casse, elle a assuré que son labrador l’avait attendu pour mourir.

Cette femme d’honneur profite du numéro spécial de «C l’hebdo» de ce samedi 14 juin consacré à nos amis à quatre pattes pour déclarer : «C’est toute ma vie les animaux». «Ils me réconcilient avec l’amour, le partage et le don de soi», témoigne Corinne Touzet  avant d’annoncer : «Je finirai ma vie au fond des bois, car je ne peux plus supporter le monde dans lequel on vit, avec un âne, un cheval , un chien, des chats.»

C’est ensuite sur un événement intime de sa vie qui l’a beaucoup affecté que l’actrice se confie. La mort de son chien. Un labrador qu’elle «a gardé 14 ans» et qui «est parti d’un cancer généralisé». «Il était malade depuis longtemps, il avait des tumeurs mais à la campagne il vivait bien. Comme tous les labradors, il a tout le temps et jusqu’au bout, joué et fait la fête», poursuit-elle. À ses côtés, Raphaël Mezrahi, un autre amoureux des animaux, écoute avec attention. L’humoriste avait présenté les nombreux chats dont il s’occupe à Thibault Gauthier dans «Le Figaro la nuit».

Le matin, ce jour-là, je me suis dit, il va partir aujourd’hui.

Corinne Touzet dans «C l’hebdo»

«Mon angoisse, c’était de ne pas être là quand il allait partir», continue Corinne Touzet face à Aurélie Casse sur France 5. En tournage à une trentaine de kilomètres de chez elle, l’actrice a été avertie par le père de sa fille par téléphone de l’état de son animal de compagnie. Elle se souvient d’une intuition : «Le matin, ce jour-là, je me suis dit, il va partir aujourd’hui.»

Le chien l’attendait à l’endroit où elle garait sa voiture tous les jours, dans la cour de la maison. Le récit se poursuit, Corinne Touzet a la voix tremblante d’émotion et les larmes qui montent : «Il est mort une heure après.»

«Je pense sincèrement qu’ils savent qu’ils vont partir, mais que surtout, ils peuvent tenir longtemps par amour. Ils nous aiment tellement, on fait partie de leur vie. C’est pour ça que je dis toujours qu’on ne perd pas un animal, on perd un ami. Ce jour-là, il attendait sa “maman” pour s’en aller», conclut-elle.