Est-ce la frustration ? Toujours est-il qu’après 80 minutes à encourager leurs favoris, supporters grenoblois et catalans ont vécu un bref moment de tension. Sitôt le coup de sifflet final, les Perpignanais avaient envahi la pelouse dans une marée jaune et rouge festive et joyeuse. Une célébration que ne goûtait pas le public grenoblois certes, mais sans excès non plus.
Quelques minutes plus tard pourtant, des supporters isérois gagnaient à leur tour le pré et engageaient un mouvement de foule vers les Catalans, jusqu’à provoquer une situation tendue : aux noms d’oiseaux succédaient quelques échanges musclés, des jets de bouteille et même un feu d’artifice qui atterrissait (sans dommages) sur les supporters perpignanais.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
La tension était trop forte, l’amertume à fleur de peau et les forces de l’ordre devaient alors intervenir pour séparer les deux camps et ramener le calme sur la pelouse, tandis que le speaker demandait à tous les spectateurs de la quitter et de sortir de l’enceinte. Aucune interpellation n’a eu lieu précise ce dimanche la police.
Les instances dirigeantes de la Ligue de rugby se pencheront-elles sur ces événements ? C’est un risque à ne pas écarter.