Comme à chaque édition, Frédéric Lopez a reçu
ses trois invités dans
Un dimanche à la campagne
, sur France 2, ce
dimanche 15 juin. Ainsi, Laurent Ruquier,
Caroline Anglade
et Melody Gardot se sont
assis face à Frédéric Lopez. De nombreuses confidences ont été
faites et certaines ont été accompagnées par beaucoup
d’émotions.

Caroline Anglade s’est notamment confiée sur son enfance et son
adolescence marquées par l’absence de son père.
L’actrice française s’était également ouverte sur le retour de ce
père de famille absent, des excuses qu’il avait formulées. Cela peu
avant sa mort. Des confidences touchantes, étonnantes…

Caroline Anglade fond en larmes en écoutant Melody Gardot

Les confidences de
Melody Gardot
ont formé l’un des moments les plus touchants de
l’émission Un dimanche à la campagne de
ce 15 juin. Enceinte, la chanteuse de 40 ans s’est notamment
confiée sur sa grossesse ainsi que sa rupture avec le
père
de son bébé. Frédéric Lopez lui a notamment demandé
de développer ses mots sur les réseaux sociaux disant : « Je ne
laisserai pas un homme transformer un miracle en
erreur
« .

La chanteuse avoue qu’elle n’avait rien demandé. Comme chaque
histoire d’amour, la célibataire endurcie qui voulait se concentrer
sur sa musique est tombée sous le charme de cet homme
« formidable ». « Mais il y avait quelque chose, je me
suis retrouvé en face de quelqu’un en pleine
panique
, qui était en train de
reculer
et qui, au lieu d’avancer, décide de dire
‘on verra' » », regrette-t-elle.

Melody Gardot : Caroline Anglade… « on
va pleurer deux secondes »

A Frédéric Lopez, Melody
Gardot
revient sur sa fausse couche.
D’ailleurs, les médecins lui auraient affirmé qu’il lui serait
impossible d’être mère. Cette grossesse, malheureusement s’est
arrêtée à 11 semaines quand son « cœur s’est arrêté ». Le
traumatisme de cette tragédie l’avait rendue nerveuse pour cette
deuxième grossesse. « Parce qu’on ne sait pas si c’est
la même histoire« , avoue-t-elle.

Ressentant le poids, la tristesse de cette histoire,
Caroline Anglade n’a pas su retenir ses larmes.
Egalement en larmes, Melody Gardot avait alors blagué : « on va
pleurer deux secondes ». Dans son élan, l’artiste poursuit :
« Je pleure presque tous les matins, tous les soirs ».
« Je suis forte. Je l’étais toujours. Mais en ce moment, à 40
ans, là, parfois… Je suis juste un peu fatiguée
d’avoir besoin d’être forte
« , a-t-elle ajouté.