Ce nouveau prestataire était arrivé en sauveur. Après Laser et un marché marqué par d’innombrables conflits sociaux, la RTM avait fini par dénoncer ce contrat pour « faute grave » en septembre dernier. Atalian prenait la suite dans la foulée et devait permettre de retrouver « des prestations à la hauteur » pour la propreté des rames et des stations de métro.