Le 16 juin, à New York, l’acteur était présent à la première mondiale de F1, son film sur l’univers de la course automobile. Il y a livré des confidences évoquant son approche de l’existence.

C’est sur le tapis rouge, devant une meute de photographes et sous l’œil amusé de ses partenaires que Brad Pitt s’est prêté avec naturel au jeu de l’interview. Venu présenter F1, son nouveau long-métrage très attendu (en salle le 27 juin) sur le monde des grand prix automobiles, l’acteur de 61 ans a partagé ce qui le pousse encore à se renouveler : «Il faut se mettre dans des situations inconfortables. […] C’est comme ça qu’on évolue», a-t-il confié au micro d’Entertainment Tonight . Une quête de sens qu’il mène aujourd’hui au côté de Ines de Ramon, celle qui, dit-il, l’a «initié» à la F1.

Brad Pitt et Ines de Ramon assistent à l’avant-première mondiale du film F1 d’Apple Original Films et de Warner Bros. Pictures à Times Square
Arturo Holmes / WireImage

Une renaissance amoureuse et professionnelle

Interrogé sur son immersion dans le monde ultra-codifié des circuits automobiles, Brad Pitt révèle que c’est sa compagne, passionnée de sports mécaniques, qui lui a transmis le goût de la discipline. Discrète dans les médias, mais rayonnante à ses côtés ce soir-là, Ines de Ramon aurait été le point de départ de cette aventure. «Elle avait déjà du goût pour ça», glisse l’acteur. La journaliste, Nischelle Turner, rebondit : «Ah, donc c’est peut-être elle qui vous a un peu inité !» ; Brad Pitt acquiesce vivement.

L’acteur, qui semble être dans une nouvelle phase de sa carrière, évoque une vision du bonheur liée à la satisfaction personnelle : «Le bonheur est relatif […] Ce qui compte c’est que ce soit gratifiant», confie-t-il. Une philosophie qu’il applique aussi bien à son jeu d’acteur qu’aux montées d’adrénaline qu’il a connues en prenant lui-même le volant pour certaines scènes du film, notamment sur le mythique circuit de Spa, en Belgique .