Le ministre des Transports a demandé mardi l’immobilisation de toutes les Citroën C3 et DS3 équipées d’airbags Takata en France. Mais de nombreux conducteurs se disent perdus face à des consignes jugées floues.

Certains ont conduit leur voiture pendant des années, sans savoir qu’elle était équipée d’airbags potentiellement dangereux de la marque Takata. Après qu’une mère de famille âgée de 37 ans est décédée le 11 juin dernier à la suite du déclenchement de ce qui est censé être un «dispositif de sécurité», le ministre des Transports Philippe Tabarot a ordonné mardi 17 juin l’immobilisation de toutes les Citroën C3 et DS3 nécessitant un changement d’airbags. Quelques heures plus tard, Citroën a demandé l’immobilisation immédiate de ces voitures encore équipées de ces airbags dans toute l’Europe, quelle que soit leur année de production.

Aujourd’hui, les propriétaires de ces voitures semblent démunis, essaient de trouver des informations sur des forums de discussions et sur les réseaux sociaux, lançant également des procédures collectives pour être dédommagés. Problème, les informations ne sont pas vraiment claires. Philippe Tabarot lui-même a estimé mardi qu’«en l’état, l’attitude de l’entreprise…

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Le Figaro

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