Le prince de Galles est venu assister aux courses hippiques à Ascot, ce mercredi 18 juin. Son épouse s’était retirée de l’évènement pour des raisons de santé.

Les courses hippiques du Royal Ascot ont célébré leur deuxième journée, ce mercredi 18 juin. La veille, Charles III et la reine Camilla ont ouvert le bal en arrivant en calèche, suivis de près par la princesse Anne, Zara et Mike Tindall, Peter Phillips et sa nouvelle compagne Harriet Sperling mais aussi la princesse Beatrice et son époux, Edoardo Mappeli Mozzi. La famille royale est donc apparue nombreuse, mais l’absence du prince William et de Kate Middleton a tout de même été remarquée. Ce n’était que partie remise. Au deuxième jour, le prince de Galles est apparu, mais seul.

Charles III et la reine Camilla célèbrent le premier jour des courses hippiques du Royal Ascot

William sans Kate

Chapeau haut-de-forme, redingote de matinée noire, gilet vert d’eau et cravate bleue, William est apparu souriant à bord de la calèche qu’il partageait avec son père et sa belle-mère ainsi qu’avec le prince saoudien Saud Ben Khalid Abdullah. Mais pas de Kate Middleton en vue. Pour cause, le nom de la princesse, qui figurait initialement sur la liste des voitures du cortège royal, a été supprimé à la dernière minute.

Selon le magazine People, Kate aurait été «déçue de ne pas pouvoir participer, mais ses proches soulignent qu’elle doit encore trouver le bon équilibre alors qu’elle s’efforce de reprendre ses engagements publics à la suite de son traitement contre le cancer». L’année dernière déjà, le prince William avait assisté aux courses d’Ascot sans son épouse, qui avait annoncé sa maladie quelques mois plus tôt.

L’ombre de son cancer

Pourtant, le 14 juin, à l’occasion de Trooping The Color, et deux jours plus tard pour la cérémonie de l’Ordre de la Jarretière, Kate était apparue rayonnante et laissait présager un été sous le signe de la «force», comme l’avait titré People en Une. En réalité, ce désistement de dernière minute ne serait qu’une forme de précaution, pour ne pas trop tirer sur la corde. «Elle fait preuve de bon sens, écoute ce que son corps lui dit et reprend progressivement sa vie publique», explique Ailsa Anderson, ancienne porte-parole de la reine Elizabeth II, au tabloïd américain. S’économiser pour miser sur le long terme, peut-être la stratégie d’une future reine.