À l’ombre du ballon, la brume de ses fausses flammes composées d’eau et de lumière soulage les employés, en proie au soleil brûlant de ce jeudi 19 juin. Plus l’on s’approche de la vasque, de retour dans le jardin des Tuileries (Ier), plus la chaleur devient supportable. « C’est une des premières flammes au monde qui rafraîchit », sourit Mathieu Lehanneur, son designer.
Visible de tous depuis le 10 juin, la vasque s’envolera à nouveau samedi soir pour la première fois en 2025, à l’occasion d’un grand concert donné dans les jardins du musée du Louvre, auquel assisteront quelque 35 000 chanceux. Ce que personne ne verra en revanche, ce sont les coulisses de la désormais célèbre vasque. Sa machinerie, ceux qui veillent à son autonomie, à entretenir ses flammes… Le Parisien vous emmène du côté de la partie immergée de la vasque.