Ulrich Baumgarten / U. Baumgarten via Getty Images
De très fortes chaleurs sont encore attendue sur la partie est du pays ce dimanche 22 juin 2025. (photo d’illustration)
MÉTÉO – Après le pic de chaleur samedi en France, les températures redescendent (un peu). Alors que 16 départements étaient concernés la veille par une vigilance orange canicule, Météo-France n’a conservé que deux départements à ce niveau pour la journée de ce dimanche 22 juin.
Après une nuit encore chaude, le prévisionniste a annoncé la « fin de l’épisode de très fortes chaleurs sur la moitié ouest du pays ». Mais le maintien de températures très élevées sur la partie est pousse Météo-France à conserver le Rhône et l’Isère en orange. De nombreux départements restent eux placés en vigilance jaune à cause de cette « vague de chaleur précoce » sur une bonne partie de la France.
La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Lire la Vidéo Le parc nucléaire d’EDF affecté
Pour ce dimanche, Météo-France attend « souvent 35-36 °C sur le Rhône et l’Isère », après une nouvelle nuit sans forte chute des températures. Dans la nuit de samedi à dimanche, les températures dans ces deux départements étaient globalement comprises entre 18 et 22 °C. Et en journée, elles pourront encore grimper « localement » jusqu’à « 37 à 38 degrés, notamment sur Lyon ».
Dans le reste du pays samedi, une température maximale de 39 °C a été relevée à Angoulême. « Localement, les 38 °C ont été atteints en Vendée », indique encore Météo-France, qui a aussi relevé comme températures maximales 38 °C à Saintes et Niort, 37 °C à Rennes, Angers, Tours et Poitiers, 36° au Mans, 35 °C à Laval ou encore 34 °C à Nantes, La Roche-sur-Yon et La Rochelle.
Conséquence après ce premier « épisode précoce de très fortes chaleurs », le groupe EDF a avancé à lundi au lieu de mercredi le début de possibles restrictions de production dans son parc nucléaire. Le groupe électricien cible surtout le site de sa centrale du Bugey dans l’Ain, à cause du possible impact des températures élevées sur le fleuve Rhône.