Daniil court après un 21ème titre dans sa carrière depuis beau­coup trop long­temps. Ce dimanche face à Bublik, il peut donc mettre fin à cette anomalie. Motivé comme jamais, il ne veut surtout pas perdre d’in­flux en se basant sur ses statis­tiques face à son adver­saire du jour.

« Les duels passés ne comptent pas quand on joue une finale. Alexander Bublik sort du meilleur tournoi de sa carrière à Roland‐Garros, et on sait que la terre battue n’est pas sa surface de prédi­lec­tion. Mon état d’es­prit ne chan­gera donc pas beau­coup si je l’af­fronte. je n’aurai d’autre choix que d’être à mon meilleur niveau si je veux remporter le titre ».