Sur la Une du Dauphiné Libéré, en ce jour de la Fête des mères 1998, elle porte le même ras-de-cou. Un collier maillé de grosses chaînes d’or entoure son port de tête gracieux. Aux oreilles, des créoles, en or toujours, et à la taille, un foulard noué. Vingt-sept ans plus tard, les années ont passé, mais dans la boutique de Marie-Noëlle Reynier, rien n’a changé. Ou presque. Quelques rides se sont depuis installées et son foulard a quitté sa…