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Quant aux buts recherchés, ils sont de plusieurs ordres. « Il s’agit de soutenir le travail des éboueurs de notre corps que sont notamment le foie, les reins, les intestins et encore le côlon », indique-t-il. Chez un sportif, Nicolas Aubineau peut donc le prescrire dans des périodes de récupération, « un ou deux jours qui ne se suivent pas, par semaine ». Et pas toutes les semaines. Dans la littérature scientifique, le jeûne intermittent a aussi fait l’objet d’études dans la perte de poids. Avec des résultats semble-t-il, discutés. En 2022, l’Inserm rapportait que ce type de régime « n’était pas plus efficace que d’autres », sur ce plan. L’Institut de Cardiologie de Montréal exposait de son côté en 2024, « des résultats significatifs ».

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Dans tous les cas, prévient Nicolas Aubineau, comme c’est le cas pour tous les régimes, « il ne s’agit pas de se lancer dans celui-ci, en présence de troubles du comportement alimentaire ou si l’alimentation est volontiers’junk food’ ». Non, celle-ci doit être « équilibrée, avec une pratique régulière d’activité physique », complète-t-il. Et de prôner notamment l’importance du fait-maison, ce qui limite l’absorption d’aliments transformés.