A La Turballe, le mètre carré est 40 % moins cher qu’à La Baule. NICOLAS THIBAUT/PHOTONONSTOP VIA AFP
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Décryptage
L’idée de s’offrir un pied-à-terre séduit toujours de nombreux habitants de Paris et des villes de la région parisienne. Le budget à prévoir dépend de la localisation du bien.
Pour aller plus loin
Même si l’heure n’est plus à l’euphorie post-Covid, les résidences secondaires continuent de faire rêver les Franciliens. Le site Green-Acres, spécialisé dans la vente de biens de charme, a ainsi enregistré une hausse de 17 % des demandes de renseignements sur un an. « Les destinations proches de Paris, à moins de 1 heure 30 de train ou de voiture, ont pris de l’ampleur », observe Grégory Beurrier, président du réseau Expertimo. Et pour cause : elles offrent un compromis idéal pour s’échapper un week-end, envisager le télétravail, accueillir des proches, ou y passer une partie de sa retraite. Objectif : se ressourcer, se promener en forêt, s’offrir une parenthèse loin de l’agitation de la ville.
Le Perche, la vallée de Chevreuse, l’Oise, l’Yonne et la Bourgogne restent des grands classiques. Les destinations phares ? Chantilly, Montfort-l’Amaury, Giverny, Senlis ou encore Nogent-le-Rotrou. Les Parisiens se dirigent aussi vers Rambouillet, l’un des terminus du Transilien, pour y acheter de jolies maisons autour de 3 300 €/m2. Ou du côté de Moret-sur-Loing, entre Fontainebleau et Nemours. Et certains ne rechignent pas à aller jusqu’à Bloi…
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