Sur le chantier, malgré les bourrasques, les équipes restent sereines. « Nous avons recueilli les données de Météo France sur les 30 dernières années pour étudier les conditions climatiques dans lesquelles la ligne va fonctionner. Cela nous a permis de déterminer les mesures à prendre pour assurer une continuité de service même en cas de perturbations », rassure Christophe Surowiec, le chargé de projet téléphérique chez Île-de-France Mobilités (IDFM), l’autorité organisatrice des transports franciliens. Si le vent se met à souffler à 70 km/h, la ligne devra fonctionner au ralenti. Et elle sera totalement arrêtée en cas de vent atteignant 90 km/h.