Une foule bigarrée, dansante et joyeuse a répondu présent au rendez-vous de la Nuit du Voyage à Nantes, samedi soir 28 juin. Une foule qui a suivi le mouvement impulsé par la Green line marching band, la fanfare du Van, dans les rues de la ville.

Du point de départ du cortège, place Royale où les statues en bronze ont laissé place à des sculptures hyperréalistes (Latest version de Willem de Haan), en passant par la place Graslin où des armatures métalliques représentent une femme enceinte couchée (Mothership de Prune Nourry), jusqu’à la place Maréchal-Foch, qui a vu sa colonne Louis-XVI gravie par une silhouette défiant les lois de la gravité (Antipodos de Iván Argote), la foule a été emportée par ce voyage étrange mais fascinant.

La nuit s’est poursuivie tard, avec des concerts ou des DJ sets. Samedi soir, la culture était en fête, et ça continue tout cet été.

photo la green line marching band dans ses œuvres.  ©  ouest-france

La Green line marching band dans ses œuvres. Ouest-France

photo la nuit du van était aussi celle de la musique.  ©  ouest-france

La Nuit du Van était aussi celle de la musique. Ouest-France

photo plusieurs concerts étaient proposés par le voyage à nantes.  ©  ouest-france

Plusieurs concerts étaient proposés par le Voyage à Nantes. Ouest-France

photo le public était invité à suivre la fanfare dans les rues de la ville.  ©  ouest-france

Le public était invité à suivre la fanfare dans les rues de la ville. Ouest-France

photo la place royale noire de monde, alors que les figures hyperréalistes de willem de haan se sentent comme chez elles sur la fontaine.  ©  ouest-france

La place Royale noire de monde, alors que les figures hyperréalistes de Willem de Haan se sentent comme chez elles sur la fontaine. Ouest-France

photo au départ du cortège, samedi soir, après les discours des élus lançant le festival.  ©  ouest-france

Au départ du cortège, samedi soir, après les discours des élus lançant le festival. Ouest-France

photo il n’y avait plus une place sur les marches de l’opéra graslin samedi soir.  ©  ouest-france

Il n’y avait plus une place sur les marches de l’opéra Graslin samedi soir. Ouest-France