Lyon est alors considérée comme la capitale du crime, la place forte du proxénétisme, des braquages et du racket en tout genre. Et donc les règlements de compte ne manquent pas. Parmi les gros bras à la gâchette facile, on retrouve d’anciens résistants reconvertis dans le monde des affaires obscures. D’autres sont revenus complètement paumés de leurs années de guerre en Algérie. À l’image des Jean Augé, Jean Schnaebelé, Joanny Chavel , etc.

Dans Le Progrès du 9 janvier 1976, une enquête révèle que pas moins de 65 crimes de sang restent impunis depuis dix ans et 15 énigmes sont toujours non…