Depuis quelques mois, Slimane se fait plus discret. Et pour
cause, le chanteur est accusé d’agression et de harcèlement
sexuel sur deux techniciens. Lors de sa tournée Cupidon
Tour, les faits se seraient déroulés après les concerts. S’il a
poursuivi ses shows,
le meilleur ami de Vitaa est toujours dans la tourmente. Sur
Instagram, il accepte toutefois de continuer à poster des clichés
sur sa vie.
En effet, ce 26 juin 2025, alors qu’il était invité à chanter
sur la scène du Festival Mawazine à Rabat, au Maroc,
Slimane a dévoilé un nouveau titre, A quoi je sers ? Sur
Instagram, il a ainsi dévoilé ces quelques mots : “Hier soir
j’ai chanté pour la première fois cette chanson que je viens
d’écrire. Je voulais vous en partager un extrait”, a-t-il
écrit en légende.
Slimane dévoile une toute nouvelle chanson et sort du
silence
Ainsi, les fans de
Slimane, accusé, ont pu découvrir les paroles de cette chanson
: “À quoi je sers, quand mon écran est en fumée / Et que je
m’sens désarmé et que ma tête va éclater / À quoi je sers, quand
j’vois des enfants crever / Mais que j’peux rien
faire, à part en parler ? / À quoi je sers, quand j’ai des
larmes par milliers / Que des familles meurent noyées parce qu’ils
rêvent de traverser”.
En commentaires, de nombreux internautes ont vanté la nouvelle
musique du chanteur. Des mots qui ont dû faire plaisir au chanteur
qui est toujours la cible d’une enquête. Selon nos confrères de
Mediapart, plusieurs proches de Slimane se seraient
« activés pendant des mois pour éviter que l’information ne
s’ébruite et remette en question des projets avec France
Télévisions et TF1 ».
Le chanteur, accusé de harcèlement et
d’agression sexuelle
En réalité, cette affaire aurait « circulé dans le petit
milieu de la musique, suscitant l’inquiétude de l’artiste
représentant de la France à l’Eurovision”.
Une omerta qui avait été dénoncée par les avocats des
parties civiles : « Nous ressentons, dans les réactions
à la première plainte déposée, une forme de banalisation ou de
relativisation de ce type de comportement qui est assez
détestable. Mon client s’est senti extrêmement mal
à l’aise face à cette situation », indique Anne-Sophie
Charrieras, avocate des plaignants, auprès de
Mediapart.