« Friday et Friday » par Antonythasan Jesuthasan ; « Apre monde », par Franck Bouysse ; « les Ombres blanches », par Dominique Fortier ; « Aliène », par Phœbe Hadjimarkos-Clarke ; « la Fête des mères », par Richard Morgiève ; « le Volume du temps », par Solvej Ball ; « le Vieil Incendie », par Elisa Shua Dusapin.

« Friday et Friday » par Antonythasan Jesuthasan ; « Apre monde », par Franck Bouysse ; « les Ombres blanches », par Dominique Fortier ; « Aliène », par Phœbe Hadjimarkos-Clarke ; « la Fête des mères », par Richard Morgiève ; « le Volume du temps », par Solvej Ball ; « le Vieil Incendie », par Elisa Shua Dusapin. 

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Si, selon le dernier baromètre du Centre national du Livre, les Français lisent de moins en moins, voilà sept raisons de faire mentir ce triste constat.

Pour aller plus loin

« Friday et Friday », par Antonythasan Jesuthasan

Traduit du tamoul (Sri Lanka) par Faustine Imbert-Vier, Élisabeth Sethupathy, et Farhaan Wahab, Zulma, 128 p., 9,95 euros.

Regard halluciné, corps criblé de cicatrices, il incarnait « Dheepan » chez Jacques Audiard, palme d’or à Cannes en 2015. Mais le Sri-Lankais Antonythasan Jesuthasan, ex-Tigre tamoul réfugié en France, est avant tout connu pour ses écrits chez lui. Six nouvelles nous parviennen…

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