Le présentateur de «L’heure des pros» s’est amusé du look adopté par Philippe Bilger sur CNews pour résister à la chaleur.

Pascal Praud  est d’ordinaire plus enclin à débattre d’actualité que de chiffons. Pourtant, ce lundi 30 juin fait exception. Alors qu’il présente ses chroniqueurs du jour, l’un d’eux attire son attention. «Sabrina Medjebeur est avec nous. Gilles-William Goldnadel , Geoffroy Lejeune et…», commence l’animateur de «L’heure des pros» avant de feindre la surprise.

« Philippe Bilger, qu’est-ce qui se passe ?», interroge Pascal Praud scrutant le choix vestimentaire de son interlocuteur. Une simple chemise blanche en lin, légèrement transparente avec une coupe fluide. On est loin du costume, la tenue habituelle des autres membres du plateau.

Pardon de respecter un peu la clientèle.

Gilles-William Goldnadel

«J’ai demandé si on pouvait arriver dans une tenue très estivale et je l’ai pris au pied de la lettre», explique le magistrat et intervenant régulier sur CNews. «Vous êtes très estival», confirme Pascal Praud avant de le complimenter : «Cela vous va bien. Je le dis aux téléspectateurs, vous êtes arrivé avec un petit chapeau, vous avez rajeuni on me dit en régie».

«Je conçois que par rapport à vous je fais négligé mon cher Pascal et mes amis, eux, se sont habillés», s’amuse Philippe Bilger. «Pardon de respecter un peu la clientèle», répond Gilles-William Goldnadel qui a privilégié un costume bleu marine, sans cravate contrairement à Geoffroy Lejeune, situé à sa gauche. Reconnaissant son audace, Philippe Bilger assure que «peut-être demain», il mettra un costume.

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Une manière originale d’évoquer l’épisode caniculaire qui traverse la France. 16 départements, dont le bassin parisien, basculent en vigilance rouge mardi. 68 resteront en vigilance orange. «Chacun aura compris qu’il fait très chaud aujourd’hui. Cela va durer deux ou trois jours. Cela s’arrête mercredi», reprend avec un ton plus informatif Pascal Praud avant d’être interrompu par un insecte volant autour de lui. «Il y a même des mouches qui se baladent sur notre plateau…», conclut-il.