C’est avec Virginie Coupérie-Eiffel que Julien Clerc a eu une
fille, prénommée Vanille. Cette dernière a dévoilé un nouvel album,
baptisé Regarde. Le premier « racontait l’insouciance et les
voyages », alors que le second fut « réalisé pendant le
confinement avec son amoureux, un musicien brésilien qui deviendra
le père de son fils », un petit garçon de 5 ans prénommé Léon.
C’est avec
Robinho Tavares
qu’elle a eu ce petit
garçon.

Mais leur relation “n’a pas duré ». « Il avait le mal du pays,
la saudade… Il était malheureux ici. Ça a été un gros chagrin
d’amour parce que j’y croyais dur comme fer. Quand j’ai commencé à
travailler sur de nouvelles chansons, j’avais déjà fait le deuil de
notre union. Je ne voulais pas avoir de ressentiment à vie. Alors
je parle (aujourd’hui, dans son nouvel album, ndlr) d’espoir et de
reconstruction”, confie-t-elle à nos confrères de Paris
Match. 

La fille de Julien Clerc se confie sur sa relation d’amour avec
Gigi, qui joue le rôle du papa de son fils

La
fille de Julien Clerc
a alors refait sa vie avec un homme
prénommé Gigi, qui travaille dans une entreprise
de haute technologie au service de la médecine : « En repartant
au Brésil, le père de mon fils a laissé une place vacante que Gigi
a prise. Quand mon fils le regarde, je vois des
étincelles dans ses yeux”.

D’ailleurs dans son nouvel album, Vanille Clerc fait une jolie
déclaration d’amour à son amoureux : « Entre nous, il n’y a plus
l’espérance, une chance d’une vie à deux, mais il y a tellement
plus… Il y a Léon , le meilleur
de nous
(…) Lorsque vous êtes mère, les priorités
changent. En amour comme en amitié, vous n’avez plus le temps que
pour les jolies choses. »

Vanille Clerc n’a jamais été aidée par
son célèbre papa

De jolies déclarations de la part de
Vanille Clerc
qui a toujours fait ses armes toute seule. En
effet, hors de question pour Julien Clerc de pistonner son enfant
dans sa carrière musicale. « Il était très inquiet pour sa fille
car il connaît la fragilité du métier et redoutait les pièges de la
célébrité », explique Virginie Coupérie-Eiffel à Paris
Match.

Julien Clerc sait ô combien l’image de « filles et fils
de » peut nuire à une carrière. « Julien n’a jamais pris son
téléphone pour appeler un producteur. Il n’a pas voulu aider
Vanille à affiner le rythme de ses mélodies ni à trouver un agent.
Deal tacite entre père et fille », écrit nos confrères.
« J’avais quand même ce poids sur les épaules. Quand votre père
est un monstre de la chanson française, vous ne partez pas
décontractée
(…) Il a eu l’intelligence de me laisser
tracer seule mon chemin vers la musique ».