La chanteuse Chantal Goya a porté plainte ce mardi 1er juillet pour le vol de la tête du costume du personnage de Panda.

JOEL SAGET / AFP

La chanteuse Chantal Goya a porté plainte ce mardi 1er juillet pour le vol de la tête du costume du personnage de Panda.

JUSTICE – L’affaire prend une tournure judiciaire. La chanteuse Chantal Goya a porté plainte ce mardi 1er juillet pour le vol de la tête du costume du personnage de Panda, rendu célèbre par son inoubliable tube de 1984 Pandi-Panda, a annoncé son producteur.

Selon la plainte consultée par l’AFP, déposée auprès de la gendarmerie de Buzançais, dans l’Indre, le vol de cet élément du costume a été constaté après un spectacle le 27 avril dans l’après-midi à Sausheim (Haut-Rhin).

Chantal Goya avait signalé le vol sur Instagram le 25 juin. « Panda nous manque à tous. Aidez-moi à le retrouver très vite pour tous les enfants de France, de Belgique, du Liban, et de tous ceux qui l’aiment comme moi », écrivait-elle.

Son producteur Damien Nougarède avait alors indiqué à l’AFP que la disparition de cette tête de panda avait été constatée lors du démontage des décors à l’issue du spectacle. Chantal Goya avait décidé de « ne pas révéler cette disparition immédiatement, pour ne pas faire de la peine aux petits enfants », rapportait-il.

La surprise de Julien Doré

Quelques jours plus tard fin juin, le chanteur Julien Doré, qui utilise également un costume de panda sur scène, avait proposé spontanément à la chanteuse de lui donner un des deux exemplaires.

« Coucou ma Chantal, c’est Juju Doré. Qu’est-ce que j’apprends ? ! Alors, j’ai bien réfléchi : je pense que c’est évident, pour que tu puisses continuer à chanter Pandi-Panda, c’est de t’offrir l’un de mes costumes de panda. J’en ai deux, le deuxième il est pour toi », proposait-il.

Chantal Goya avait remercié le chanteur mais garde l’espoir de retrouver la tête disparue, utilisée par l’un de ses danseurs depuis 1984. Elle promet à qui la rapportera de lui offrir un café. Selon elle, si la tête revient à son danseur, « on n’en parlera plus ».