Résumé

Michel Polnareff se confie sur sa vie de père et sa relation avec son fils de 14 ans, révélant qu’il l’intimide un peu, mais qu’ils s’entendent très bien malgré leurs différences d’âge.

Sommaire

Michel Polnareff avait annoncé en novembre 2024 la sortie d’un album, et sa « derrière » tournée à 80 ans. Le 25 avril 2025, sortira son nouvel opus « Un temps pour elle », qui comprend la chanson « Tu n’m’entends pas ».

Elle est dédiée à son fils. Louka a 14 ans. Sa maman n’est autre que Danyellah. Michel Polnareff l’a adopté en 2016, après avoir découvert qu’il n’était pas son père biologique.

Aujourd’hui séparé de son ex-compagne, il entretient des rapports rapprochés avec son garçon. Même si parfois, ça coince, en raison de leur différence d’âge.

Louka grandit bien

C’est ce que l’Amiral explique au Parisien, ce jeudi 3 avril 2025. Le chanteur de « Love me, please love me », « Lettre à France », et « Goodbye Marylou » passe beaucoup de temps avec son fils. Mais le garçon vit « souvent » chez sa mère.

À propos de lui, il explique : “Il a 14 ans, il est beau, intelligent, marrant, adorable. Il est à l’école à Newport Beach, il travaille bien ».

Et d’ajouter : « Quand il est avec moi, il joue sur des simulations de vol, il a du matos balaise. Il veut devenir pilote, mais ça risque de changer”.

Michel Polnareff a 66 ans d’écart avec son fils

Selon Michel Polnareff, Louka n’est pas intéressé par une carrière d’artiste, comme son papa. L’artiste avoue : “Je l’intimide un peu. Je n’arrive pas à communiquer avec lui ».

C’est la raison pour laquelle il a écrit un nouveau titre pour lui, après « Grandis pas », sorti en 2018 sur l’album « Enfin ! ». Michel Polnareff reconnait : « Il fait partie de ce lot-là. Mais je l’adore ! Et on s’entend très, très bien”.

Et Louka met probablement du temps à réaliser que son papa est cool, tant son oeuvre est colossale. De son côté, Michel Polnareff écoute pourtant des artistes bien de son époque. Il confesse : « J’écoute ce qui se présente, rap, hip-hop. J’aime beaucoup Eminem. J’entends de la musique française dans les bars belges ».

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