Chiffres-clés

  • Financement : 6,3 M€ d’investissement dépensés depuis le début de la mandature.
  • 60 % : des sites sont en toitures et 30 % en pleine terre. En termes de surfaces, ce ratio s’inverse. Les 10 % des sites restants sont situés dans des parkings ou sur des murs, structures particulièrement adaptées à la culture des champignons ou du houblon.
  • Contact : Jacques-Olivier Bled, chef de la division «ressources et partenariats agricoles », 01.71.28.50.91.

 

 

 Quatre-vingts sites d’agri­culture urbaine ont été installés en dix ans dans la capitale grâce à l’appel à projets « Parisculteurs ». Ces terrains représentent 24 hectares (dont 15 situés intra-muros) et une diversité de productions : maraîchage, plantes aromatiques, fleurs coupées, petits fruits, thé, safran, champignons…

Alors que la ceinture agricole entourant l’agglomération a peu à peu laissé la place à un urbanisme dense, l’objectif de la mairie de Paris est de mettre à la disposition des agriculteurs urbains professionnels (entreprises ou associations) du foncier accessible économiquement.

Une convention d’occupation

Chaque appel à projets « Paris­culteurs » débute par une recherche de sites propices à ­l’accueil de ­projets agricoles. Leur sélection est effectuée avec soin : « Pour …

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