Publié le
6 juil. 2025 à 6h40
Stéphanie Rivercombe est née avec une plume dans le berceau ! La trentenaire essonnienne a fait de ses rêves d’enfant une réalité en se lançant pleinement dans l’écriture de romans. « J’écris depuis mon plus jeune âge, et même avant de savoir écrire, je dictais mes histoires à mes parents. Ensuite, avec des feuilles A4 et des agrafes, je faisais de petits livres et je dessinais à côté des textes », évoque avec enthousiasme celle qui a déjà sorti six ouvrages depuis 2016, de son premier roman Les aigles de Zeus jusqu’au dernier en date, Le courage des Lionnes, publié en 2024.
Un mélange de genres littéraires nourris par les influences de l’autrice
« Mes thématiques sont souvent récurrentes. Un mélange de polar, d’aventure et de fantastique, avec des intrigues inspirées d’archéologie, de mythologie et d’histoire. Ce sont des thématiques qui me ressemblent à 100 %. Comme l’écriture, l’archéologie et l’histoire me passionnent depuis l’enfance. À 5-6 ans, je déambulais déjà dans les allées du musée du Louvre avec ma grand-mère, les mercredis après-midi. J’étais particulièrement attirée par les galeries égyptiennes. Adulte, j’ai rejoint l’Université de Paris Sorbonne où j’ai suivi des études en archéologie. J’ai fait le choix de me spécialiser en archéologie précolombienne pour mon master et mon doctorat. L’été, je participais à des chantiers de fouilles. J’en garde des souvenirs incroyables », raconte l’écrivaine.
Passionnée au quotidien par les enquêtes, les énigmes, percer des mystères et les livres policiers, l’autrice essonnienne se refuse à évoquer des sujets un peu trop sombres. « C’est justement quelque chose que l’on ne retrouve pas dans mes romans et puis, le côté policier est aussi très lié à l’archéologie. Après tout, l’archéologue est un enquêteur ! Quant au fantastique, je baigne dans cet univers depuis l’enfance, que ce soit à travers les livres ou les films. Je suis aussi une aventurière dans l’âme », souligne Stéphanie Rivercombe.
L’autrice confie apprécier l’espace de liberté propre à l’écriture : « Je ne m’inspire pas vraiment du quotidien pour écrire. Il n’y a aucune limite à l’imagination, aucune contrainte. Je suis libre d’imaginer et de retranscrire » précise l’Essonnienne tout en concédant tout de même être influencée par certaines de ses visites. « Récemment j’ai eu un coup de cœur pour le château de Dourdan. D’ailleurs, dans mon nouveau roman, une des intrigues se déroule dans l’Essonne. Même si mes personnages parcourent le monde, j’aime mettre la France à l’honneur ! ».
Actuellement en pleine écriture du tome 7 de sa saga qui marquera la fin du premier cycle, Stéphanie Rivercombe sera présente en dédicace dans le département les 20 et 21 juin au magasin Auchan de Villebon-sur-Yvette, au salon du livre de Saint-Chéron le 13 septembre et au magasin Cultura de Sainte-Geneviève-des-Bois, le 25 octobre.
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