Étienne Manteaux est lucide : « On condamne mais on voit bien qu’on n’est pas très bons sur les taux de récidive, tout particulièrement en matière de toxicomanie, où ces taux sont terriblement mauvais ». « Parce qu’on sait qu’un toxicomane va avoir de gros besoins financiers pour assurer sa consommation, ce qui entraîne des faits de délinquance comme les vols par exemple », explique le procureur de la République de Grenoble.
Et c’est pour tenter de réduire le taux de récidive des délinquants présentant de lourdes addictions (drogue, alcool, médicaments…) que les représentants du monde…