Vous avez été élu député de la première circonscription il y a un an. Quel regard portez-vous un an après ?

« J’ai été élu avec la dissolution surprise en réalisant 40 % au premier tour et 60 % au second, face au Rassemblement national. Je suis investi d’une double redevabilité. Vis-à-vis des électeurs du premier tour qui veulent un projet politique en rupture avec la politique macroniste et vis-à-vis de ceux du deuxième tour, qui ont voté et pour l’homme et contre l’extrême droite. »

« J’essaie de faire honneur à ces deux mécaniques électorales en étant présent, à la fois, à l’Assemblée et le plus possible sur le terrain pour écouter et expliquer. Avec le bilan que j’ai présenté, les électeurs ont choisi un député bosseur, qui essaie d’être utile pour le territoire et surtout un député libre de ses choix et de ses votes. »

Vous avez plusieurs fonctions à l’Assemblée nationale. Dans laquelle, vous vous sentez le plus utile ?

« Je suis le coordinateur de mon groupe au sein de la commission…