Actualisé mensuellement, notre baromètre immobilier exclusif vous donne toutes les informations nécessaires sur la tendance dans les villes azuréennes. Idéal pour suivre les dynamiques à Nice, Cagnes-sur-Mer et Saint-Laurent-du-Var.

Vous espérez, même en cette période estivale, conclure votre projet immobilier dans les Alpes-Maritimes ou dans les grandes villes de Provence-Alpes-Côte d’Azur ?

Pour vous aider, notre baromètre exclusif offre une vision globale sur les tendances dans les localités du Sud-Est. Achat ou location, il est possible de se faire une idée du coût commune par commune, et ainsi sélectionner les territoires à votre convenance.

Car il est bien connu, et les derniers rapports le démontrent, que le département maralpin affiche des montants très supérieurs au reste du pays. Alors, de nombreux ménages se tournent vers la location, un chemin qui n’est pas vraiment un long fleuve tranquille pour les candidats, notamment les jeunes, qui tombent sur un marché saturé.

Des loyers en forte progression sur l’année écoulée

Ce qui explique la forte hausse des baux depuis plusieurs années. Prenons les trois aires urbaines les plus peuplées de la métropole niçoise. Dans la Baie des Anges par exemple, votre mensualité au 1er juillet s’établissait à 22 euros/m2, soit un gain de 14% sur un an. Un chiffre qui se stabilise au regard de la situation en juin.

Idem à Cagnes-sur-Mer (21 euros/m2) et à Saint-Laurent-du-Var (19 euros/m2). Certes, les tarifs n’ont pas augmenté ces dernières semaines, mais ils ont progressé de respectivement 8,4% et 9,3% depuis juillet 2024.

Sur la Côte d’Azur, l’immobilier est particulièrement porté par les retraités et les actifs les plus aisés. Ces derniers ont les moyens d’acquérir un bien dans des zones inaccessibles à beaucoup de portefeuilles. Dans la collectivité départementale, le mètre carré s’élève à 5.960 euros, cachant de nombreuses disparités.

Saint-Laurent-du-Var et Nice repartent à la hausse

Des trois cités évoquées ici, Cagnes-sur-mer promet les prix les plus attractifs, inférieurs de 8,5% à cette moyenne. Un mètre carré vaut en ce mois de juillet 5.454 euros. Ce qui est tout de même 1,8% de plus que lors du précédent trimestre, et 2,4% plus cher qu’à la même époque en 2024.

Une courbe inverse à celles de Saint-Laurent-du-Var et Nice. Dans ces villes, les trois derniers mois furent synonymes de revalorisation bien plus importante. Si la majoration n’est que de 1,1% en un an pour les deux communes, elle grimpe à 3% et 3,3% depuis avril.

Cependant, sur le plan tarifaire, elles ne jouent pas dans la même cour. Dans la capitale maralpine, la pierre est aujourd’hui estimée à 6.121 euros pour un mètre carré, soit 2,7% de plus qu’ailleurs chez ses voisines. Dans la localité limitrophe, les coûts sont de 5.660 euros, et donc inférieurs de 5% à ce qui se pratique dans le reste des Alpes-Maritimes.