« Nous avons travaillé avec l’échéance du 9 juillet à l’esprit, mais il apparaît que les États-Unis l’ont, en quelque sorte, repoussée au 1er août. Cela nous donne un peu plus de temps », a commenté M. Dombrovskis mardi.
Le commissaire européen espère néanmoins que les deux parties parviendront à un accord de principe avant la fin du mois. « Cela permettrait de lever l’incertitude qui pèse sur l’économie et les décisions d’investissement des entreprises. »
Donald Trump lui-même continue de semer le trouble sur le calendrier. Interrogé lundi soir sur le caractère contraignant de l’échéance du 1er août, il a répondu aux journalistes: « Je dirais contraignant, mais pas à 100 % ».