Depuis la rentrée 2024, les étudiants en master de pays hors de l’Union européenne ont dû payer des frais de scolarité plus élevés à l’Université de Strasbourg. Entre factures à plusieurs milliers d’euros, exonération partielle ou totale de certaines dettes, les tâtonnements de l’administration alimentent le sentiment d’injustice et d’incompréhension.