« Crises sociales, tensions internationales, dérèglement climatique : Nous vivons une époque tourmentée », constate Paul Meyer. Celui qui dit consacrer tout son temps depuis six mois au futur de la ville de Strasbourg ajoute : « Face à ce fracas mondial, que constatons-nous ? Une ville qui s’enlise dans les querelles, l’improvisation et, trop souvent, le mépris de ses habitants. »

Après nous avoir confié son désir de s’impliquer dans la campagne des municipales à venir, Paul Meyer structure désormais ce projet autour de Réconcilier Strasbourg, un mouvement qu’il cofonde avec Nawel Rafik Elmrini, également ancienne adjointe de Roland Ries.

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Cette dernière arrive avec le titre de cheffe de file de Territoire de Progrès, le parti de centre gauche créé par d’anciens membres du PS et de la République en Marche en 2020. Lors d’une première réunion, le mouvement a réaffirmé sa volonté de « rassembler aussi bien des personnalités politiques que des citoyens issus de la société civile convaincus de l’urgence de proposer aux Strasbourgeois une nouvelle alternative démocratique ».

Un premier dossier thématique présenté ce jeudi

Au programme : « Retrouver l’âme de Strasbourg, celle d’une ville innovante et ouverte ». Concrètement, le mouvement doit présenter ce jeudi 10 juillet à la presse, un premier dossier thématique. À savoir ses réflexions et pistes de travail sur « les enjeux de l’été et la résilience de la ville face aux canicules ».

Pour ce qui concerne le rassemblement, le duo fondateur du mouvement dit « proposer une maison commune à toutes celles et ceux qui aujourd’hui ne se reconnaissent pas dans l’offre politique du moment, et particulièrement aux écologistes sincères déçus par la municipalité actuelle  ».

Parmi les premiers soutiens à cette démarche, le professeur de chirurgie Patrick Pessaux, Sophie Rosenzwzeig, créatrice de Voix sans frontières, Olivier Ferrand (Chambre des métiers d’Alsace), l’étudiant en Sciences-Po Sacha Remy, l’entrepreneur Lucas Gacitua Petit et Olivier Kauffmann, ancien président du Consistoire Réformé de Strasbourg, ont déjà été mis en avant.