Pour eux, l’union populaire est « une urgence sociale, démocratique et environnementale ». Mais cette urgence ne se fera pas à n’importe quel prix. C’est ce qu’indiquent, dans un communiqué, Valentine Mercier et Nicolas Preux, co-chefs de file de la France insoumise pour les municipales 2026 qui mettent clairement la pression aux autres formations politiques de gauche. Tout semble donc bien parti pour que la gauche parte… désunie.
Valentine Mercier et Nicolas Preux reconnaissent que les discussions menées depuis un an par les militants de la France insoumise, les Écologistes, le PCF, le PS et le collectif Sainté populaire, pour une liste commune à gauche patinent. « Nous le regrettons », précisent-ils.
PS et Écologistes habillés pour l’hiver
« Il y a plusieurs semaines déjà, le PS annonçait son candidat tête de liste dans la presse (Régis…