DÉCRYPTAGE – La réforme, en créant un scrutin direct pour la mairie de Lyon, devrait personnaliser un peu plus l’élection municipale de 2026. Un changement accueilli positivement par le camp de l’ancien patron de l’OL.
À Lyon, les « quand » ont remplacé les « si ». À huit mois des élections municipales, la candidature de Jean-Michel Aulas ne fait plus vraiment de doute, et tout le monde attend désormais l’annonce officielle de son entrée en politique. L’horizon semble se dégager pour l’ancien patron de l’Olympique Lyonnais à la faveur du maintien du club en Ligue 1 et de l’adoption de la loi PLM par l’Assemblée nationale. Deux incertitudes que « JMA » observaient de près avant de se lancer. « Ce n’était pas vraiment une condition pour lui, cette réforme du scrutin, mais plutôt une volonté de connaître les règles du jeu », tempère un de ses proches.
Selon les estimations du Figaro, la réforme prévue par la loi PLM n’aurait eu à Lyon qu’un impact minime lors du scrutin de 2020, en privant la majorité en place de quatre sièges, contrairement à Paris ou à Marseille. Pourtant, c’est peut-être Jean-Michel Aulas qui pourrait bénéficier le plus de cette modification électorale au sein des trois…
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